Meneldil du Drakkar d'Odin (Minas)
Fin janvier 2018 cela fera un an que j’ai mon gros bébé avec moi. Un magnifique Bouvier d’Appenzell Mâle de bientôt 14 mois.
Lorsque ma décision d’avoir un chien fut prise, je n’avais pas une race de chien en particulier en tête. Je voulais surtout un chien gentil et sportif pour m’accompagner dans mes balades à cheval et mes sorties VTT/courses à pied du dimanche. Je voulais également un chien sociable avec les autres car beaucoup de personnes autour de moi ont des chiens.
C’est en surfant sur le web que j’ai pu faire défiler à l’écran toutes les races de chiens, et je suis tombée sous le charme du Bouvier d’Appenzell. Tout d’abord grâce à son physique et port de queue atypique, puis sa bouille craquante et ses couleurs : un noir intense, de beaux marquages feux et blancs. J’ai craqué !!
Je me suis alors renseigné sur le type de caractère pour voir si il était compatible avec mon mode de vie. La description sur internet était top.
J’ai également pris conseil auprès du club canin le plus proche de chez moi pour avoir leur avis. Je ne voulais pas me tromper et avoir un chien malheureux.
J’ai trouvé l’élevage du Drakkard d’Odin sur internet et j’ai beaucoup échangé avec Ludovic, sur la race, les activités possibles à faire avec le chien et surtout le comportement, type de caractére.
Mon Minas est plein d’amour avec tout le monde, petit et grand, gentil et câlin. Il sait néanmoins me défendre face aux chiens inconnu, il est très protecteur avec moi. Il est proche de la famille et de son territoire.
Il est têtu par moment, c’est un Appenzell !
Ludovic et Stéphanie ont été très présents dès les premiers contacts. Je n’ai pas eu de surprise. Une grande disponibilité de leur part et plein de conseils sur l’éducation, l’alimentation et la santé. On peut quelquefois se retrouver désemparé face à un chiot qui pleure une bonne partie de la nuit. Faut-il céder, oui ? non ? quelle est la bonne attitude à aborder ? Comment lui apprendre la solitude quand on est au travail et que ça ne soit pas traumatisant pour lui de rester seul. Les règles au quotidien, les moments de jeux, qui décide, quand et comment, etc.
Toutes mes questions ont eu des réponses.
Il était important pour moi d’aller chez l’éleveur pour voir les chiens, la mère, les conditions de vie et surtout voir tous ces beaux bébés pour faire un choix.
Quand j’y suis retourné, que d’émotions, j’ai pu repartir avec mon chien, un kit chiot avec tout le nécessaire et un gros livret dans lequel je me replonge régulièrement (surtout la première année, avec les activités autorisées et interdites les premiers mois).
Ludovic et Stéphanie sont disponibles tout le temps et pleins de conseils, c’est très appréciable. Personnellement je donne régulièrement des nouvelles de mon bébé et ça leur fait très plaisir.
Amicalement,
Cyrielle